FAYARD EDITEUR , C'est par une lettre de Malaparte à son père que Jean-Noël Schifano commence son pamphlet contre Berlusconi. C'est un beau point de départ. Et au secours du « maudit Toscan » viennent bientôt Moravia, Elsa Morante, Sciascia, Eco. Avec lui, tous ces écrivains contemplent le désastre d'une Italie dévastée sur laquelle souffle un « vent noir ». « L'écrivain doit être incorrect, annonce Schifano, seule façon de créer, surtout à notre époque de trouille molle, de singes triporteurs et de censures médiatiques omnipotentes. Il faut être absolument incorrect... » Le « J'accuse » de Schifano est tonitruant, désordonné, libre, mais il ne répond pas à une impulsion passagère, malgré son ton. extrait de l’article écrit par René de Ceccatty ( Le Monde des livres )“ Schifano souhaite écrire le requiem de l'Unité italienne. A ses yeux, le fédéralisme sauvera ce pays de la compromission, de la vulgarité, du pouvoir centralisé à Rome, entre Eglise et Politique, du nord triomphant et du sud devenu la plaque tournante des trafics mondialisés. En 187 pages, il a enfoncé le premier clou du cercueil d'une Italie unifiée. “ extrait de l’article L'Unité italienne passée à tabac" />
FAYARD EDITEUR , C'est par une lettre de Malaparte à son père que Jean-Noël Schifano commence son pamphlet contre Berlusconi. C'est un beau point de départ. Et au secours du « maudit Toscan » viennent bientôt Moravia, Elsa Morante, Sciascia, Eco. Avec lui, tous ces écrivains contemplent le désastre d'une Italie dévastée sur laquelle souffle un « vent noir ». « L'écrivain doit être incorrect, annonce Schifano, seule façon de créer, surtout à notre époque de trouille molle, de singes triporteurs et de censures médiatiques omnipotentes. Il faut être absolument incorrect... » Le « J'accuse » de Schifano est tonitruant, désordonné, libre, mais il ne répond pas à une impulsion passagère, malgré son ton. extrait de l’article écrit par René de Ceccatty ( Le Monde des livres )“ Schifano souhaite écrire le requiem de l'Unité italienne. A ses yeux, le fédéralisme sauvera ce pays de la compromission, de la vulgarité, du pouvoir centralisé à Rome, entre Eglise et Politique, du nord triomphant et du sud devenu la plaque tournante des trafics mondialisés. En 187 pages, il a enfoncé le premier clou du cercueil d'une Italie unifiée. “ extrait de l’article L'Unité italienne passée à tabac" />
L’UNITÉ ITALIENNE : RENCONTRE - SIGNATURE AVEC JEAN-NÖEL SCHIFANO AU CENTRE
jeudi 24 mars à 19h LE VENT NOIR NE VOIT PAS OÙ IL VA “RÉVEILLE-TOI, Ô ITALIE..." FAYARD EDITEUR C'est par une lettre de Malaparte à son père que Jean-Noël Schifano commence son pamphlet contre Berlusconi. C'est un beau point de départ. Et au secours du « maudit Toscan » viennent bientôt Moravia, Elsa Morante, Sciascia, Eco. Avec lui, tous ces écrivains contemplent le désastre d'une Italie dévastée sur laquelle souffle un « vent noir ». « L'écrivain doit être incorrect, annonce Schifano, seule façon de créer, surtout à notre époque de trouille molle, de singes triporteurs et de censures médiatiques omnipotentes. Il faut être absolument incorrect... » Le « J'accuse » de Schifano est tonitruant, désordonné, libre, mais il ne répond pas à une impulsion passagère, malgré son ton.extrait de l’article écrit par René de Ceccatty ( Le Monde des livres )
“ Schifano souhaite écrire le requiem de l'Unité italienne. A ses yeux, le fédéralisme sauvera ce pays de la compromission, de la vulgarité, du pouvoir centralisé à Rome, entre Eglise et Politique, du nord triomphant et du sud devenu la plaque tournante des trafics mondialisés. En 187 pages, il a enfoncé le premier clou du cercueil d'une Italie unifiée. “extrait de l’article L'Unité italienne passée à tabac
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